Retour à Séoul

Nouvel article et nouveau film avec cette fois le dernier long métrage du réalisateur Franco-Cambodgien Davy Chou :

Retour à Séoul.

Le film nous raconte l’histoire de Freddie, jeune adulte, de retour un peu par hasard en Corée du Sud pays où elle est née. La jeune femme est en quête de réponse quant à ses origines et dans un pays qu’elle ne connait pas.

Vous souhaitez regarder la bande annonce avant d’aller plus loin ? Cliquez ici !

Petit rappel les lignes qui suivent ne contiendront aucun spoil permettant ansi à celles et ceux qui n’ont pas encore vu le film de pouvoir lire cet artcile sans crainte.

Le film aborde le thème de l’adoption et de la quête d’identité des enfants qui retourne dans leur pays d’origine.

J’aime quand un film ou une serie parlent d’adoption, étant moi même un enfant adopté, j’apprécie de voir des œuvres qui traitent de ce sujet. Le film en question aborde le thème avec les yeux de l’enfant mais aussi avec ceux des parents ayant « abandonné » la chair de leur chair. Il n’est ici pas question de jugement mais bien de point de vue. Rappelons qu’il s’agit d’une fiction, plutôt réussie certes mais d’une fiction.

Côté casting la prestétion de Park Ji-Min est époustouflante. Déjà parce que la jeune femme n’était pas « comédienne » mais dont le naturel nous explose au visage. Elle interprète et porte avec brio ce long métrage. Louis-Do de Lencquesaing, Yoann Zimmer viennent compléter le casting francophone. Kwang-rok Oh qui joue le rôle du père biologique est lui aussi très poignant. On y découvre un personnage qui assume le choix le plus difficile qu’il ait eu à faire de sa vie et qui souhaite que « sa fille » revienne vivre en Corée, pour cela il est prêt à tout même à se fâcher avec elle.

Bien que rempli de qualités, le film n’est pas exempt de tout reproche. Quelques moments de longueur sont à déplorés, je regrette que le film soit constament sur un faux rythme. De plus le réalisateur ne s’attarde pas assez, à mon gôut, sur la difficulté d’être un enfant adpoté qui grandit entre deux cultures bien différentes. J’aurai aimé voir un peu plus d’image de ce beau pays que je ne connais pas.

Même si l’ensemble n’est pas parfait il n’en n’est pas moins très hyptnotisant. Son environnement sonore signé Jérémie Arache est en revanche le Grand plus. Très réussie il vient sublimer l’univers ici proposé.

Je vous invite de tout cœur à découvrir ce long métrage à en apprécier son scénario, à vous laisser embarquer par une histoire des plus touchantes.

Encore une fois les lignes ci-dessus ne résultent que d’un ressenti, le mien, et ne sont en aucun cas une vérité. Le meilleur moyen de vous forger votre propre opinion est d’aller voir Retour à Séoul.

Voilà c’est tout pour aujourd’hui et n’oubliez pas que le plus important reste à découvrir, s’amuser et le partager !

La Famille Asada

Nouvel article dans lequel je vais vous parler de cinéma japonais avec le dernier long métrage de Ryota Nakano :

La Famille Asada.

Si dans l’hexagone le film est à l’affiche depuis le 25 janvier dernier, il n’en est rien au pays du soleil levant où le long métrage a pu être visionné il y a déjà deux ans.

Le film a notamment été récompensé dans son pays d’origine en 2021 avec le prix de la meilleure actrice dans un second rôle pour Haru Kuroki ( qui interpète Wakana Kawakami) et en 2022 au Festival du cinéma japonais contemporain.

La bande annonce m’avait déjà bien ému à laquelle se sont ajoutés les différents retours plus que positifs de celles et ceux qui avaient déjà pu poser les yeux sur ce qui semblait être une vraie réussite.

Mais bien que les conseils et les avis d’autrui m’intéressent j’aime me forger ma propre opinion J’étais donc très impatient de le découvrir.

L’histoire s’est celle de Masashi Asada, le cadet de la famille dont le rêve est de devenir photographe depuis le jour où son père lui a mis un appareil photo entre les mains. Dès lors nous suivons la vie du jeune homme devenu un véritable professionnel de la prise de vue et qui s’est mis en tête de photographier les membres de sa famille dans les situations les plus improbables qui soit.

Vous souhaitez voir ou revoir la bande annonce avant d’aller plus loin ? Cliquez ici !

Vous le savez déjà mais j’aime rappeler que les lignes qui vont suivre ne contiendront aucun spoil permettant ainsi à celles et ceux qui n’ont pas encore vu le long métrage de pouvoir lire cet article sans crainte.

J’ai pour habitude lorsque je vous livre un avis d’être le plus objectif possible et de donner, selon moi, les points positifs et négatifs.

Pour le coup « La Famille Asada » n’a pour moi aucun point négatif. Ce film est une parfaite réussite. La réalisation est soignée, les acteurs sont magistraux, Kazunari Ninomiya qui joue le rôle principal et que l’on avair pu voir notamment dant « Lettre d’Iwo Jima » de Clint Eastwood est parfait. Les autres membres de la famille sont tout aussi parfaits.

Le film fait passer le spectateur du rire aux larmes avec émotion et simplicité. J’ai été touché par l’histoire que le scénario qui se développait sous mes yeux et n’ai pas vu les deux heures passer. Le film aborde de choses tristes et graves sans tomber dans l’excès ou le sur-jeu.

Pour terminer cet article j’avais envie de vous parler de la fin de ce long métrage. Elle est inatendue mais peut se deviner et m’a surpris autant qu’elle m’a ému.

Je vous invite de tout coeur à découvrir « La Famille Asada » au cinéma tant que cela reste possible et bien évidemment en DVD ou bluray quand ces derniers seront disponibles. Il me tarde déjà de pouvoir redécouvrir ce film qui est pour moi le coup de cœur de ce début d’année.

Voilà c’est tout pour aujourd’hui et n’oubliez pas que le le plus important reste à découvrir, s’amuser et le partager.

Hocus Pocus 2

Nouvel article dans lequel nous allons parler de cinéma avec le retour, sur Disney +, des trois sorcières Sanderson dans la ville de Salem.

En effet Hocus Pocus 2, suite d’un premier long métrage devenu culte et pas seulement le soir d’Halloween, est disponible sur la plateforme de streaming depuis le 30 septembre dernier.

Comme à mon habitude les lignes qui suivront ne contiendront aucun spoil et permettront ainsi à celles et ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion de voir le film de pouvoir lire cet article sans crainte.

Vous souhaitez voir la bande annonce avant d’aller plus loin ? Cliquez ici !

Comme souvent montons à bord de la DeLorean du Doc et retournons dans le passé. Plus précisément à la date du 16 juillet 1993 date de sortie du premier volet, aux Etats-Unis. Il faudra attendre le 26 janvier 1994 pour voir le long métrage de Disney arriver en France. Tout cela ne nous rajeunit pas !

Réalisé par Kenny Ortega ce premier opus dure 96 minutes. Au casting Bette Milder, Kathy Najimi et Sarah Jessica Parker (célèbre Carrie Bradshaw dans Sex and the City) incarnent les trois sorcières.

O grimoire, raconte moi une histoire.

Affiche du premier volet disponible sur Disney +

Max Dennison un adolescent est contraint et forcé de quitter Los Angeles pour la ville de Salem dans le Massachusetts. Le soir d’Halloween tout la ville est en effervescence et Max se voit obliger d’accompagner sa jeune sœur Dani pour aller à la chasse aux bonbons. C’est lors de cette nuit de tous les possibles que le jeune homme va rallumer une bougie « magique » qui est au centre d’une légende vieille de 300 ans et ramener à la vie trois sorcières maléfiques.

S’en suivra une nuit d’aventures durant laquelle Max et sa sœur accompagnés d’Allison, camarade de classe de l’adolescent, devront sauver tous les enfants de Salem. En effet les trois sorcières se nourrissent des âmes des plus jeunes afin de rester jeunes et belles à jamais.

Le film est dôle, le rythme est bon même si je pense que j’écris ceci sous l’impulsion de la nostalgie et du plaisir de le redécouvrir en tant que jeune papa. Les 96 minutes passent sans que l’ennui viennent nous sortir de cette histoire au scénario des plus simplistes.

Mais passons sans plus attendre à ce qui nous intéresse le plus aujourd’hui, la suite et le retour des trois sorcières !

De gauche à droite, Kathy Najimi, Bette Milder et Sarah Jessica Parker.

Cette fois-ci la réalisation est confié à Anne Fletcher. Le Grand point positif est le retour du casting original dans cette suite.

Bette Milder, Kathy Najimi et Sarah Jessica Parker enfourchent de nouveau leurs balais; même Doug Jones reprend son rôle de Billy, gentil zombie, Butcherson. C’est du côté des ados que le casting change et la mission de sauver Salem et ses enfants est confiée à Whitney Park, Lilia Buckingham et Belissa Escobedo.

Côté scénario nous reprenons les bases de l’original les sœurs Sanderson sont ramenées à la vie après qu’une jeune personne ait allumé la bougie à flamme noire. S’en suit une nuit d’aventure durant laquelle Becca, Izzy et Cassie (le nouveau trio d’héroïnes) mettront tout en œuvre pour arrêter les trois sorcières.

Malheureusement comme pour beaucoup de suites moins bonnes que le premier ce Hocus Pocus 2 n’échappe à la règle. Clairement le long métrage ne détrône pas son premier opus. Les blagues ne sont pas très dôles et sont surtout un simple copier coller du film de 1993, quel dommage qu’il n’y ait eu aucune originalité de ce coté-ci.

Du coup Sasha ?

En conclusion je dirai que ce Hocus Pocus 2 est en demie teinte. Car bien que la nostalgie fonctionne parfaitement, ce long métrage s’essouffle vite. 29 ans séparent les deux films et cela se sent dans les dialogues. Si le premier volet bénéficiait de la liberté de ton des années 90 il n’en est rien pour Hocus Pocus 2. Néanmoins ce long métrage s’adresse à beaucoup d’entre vous à commencer par les plus jeunes d’entre qui n’ont pas connu l’original mais aussi à toutes celles et tous ceux qui ont connu le premier opus et qui retrouveront avec plaisir et nostalgie Winifred, Sarah et Mary.

Voilà c’est tout pour aujourd’hui et rappelez vous que le plus important reste à découvrir, s’amuser et le partager.

Samaritan

Bonjour à toutes et à tous, j’espère que vous allez bien en cet fin d’été.

Quel plaisir de faire mon retour à l’écrit après trois mois d’absence. L’arrivée d’un nouveau né occupe les journées et bien que je me sois tenu à l’écart du site je n’ai pas pour autant chômé.

Et pour cette rentrée j’avais envie de parler de quelque chose de plutôt léger avant l’arrivée de nouveautés plus… attendues.

De ce fait je vais vous parler de la nouvelle production de Prime Video : Samaritan

Disponible pour les abonné(e)s de la plateforme de streaming depuis le 26 août.

Tu as envie de voir la bande annonce (en VO) avant d’aller plus loin ? Clique ici.

La réalisation a été confié au réalisateur australien Julius Avery qui nous livrera dans un prochain futur sa vision de Flash Gordon mais nous en reparlerons.

Côté casting nous retrouvons Monsieur Sylvester Stallone dans le rôle de Joe, un éboueur proche de la retraite, Javon Walton dans celui de Sam et dans celui du méchant, car oui il y a toujours un méchant dans un film avec Sylvester Stallone, nous retrouvons Pilou Asbæk ( Games of Throne) interprétant Cyrus un caïd local mais aux grandes ambitions.

Comme toujours les lignes qui suivent ne contiennent aucun spoil permettant ainsi à celles et ceux qui n’ont pas encore vu le film de pouvoir obtenir un premier avis. Encore une fois cet avis est le mien et n’engage que moi. Il n’est en aucun cas une vérité absolue.

Mais dis nous Sasha, Samaritan, de quoi ça parle ?

C’est l’histoire de Sam un ado sans père de 13 ans qui fait la rencontre de Joe, un voisin, vieil éboueur à la retraite. Le jeune homme est persuadé que ce dernier n’est autre que The Samaritan un ancien super héro que tout le monde croit mort depuis vingt ans suite à un affrontement avec son frère, le terrible Némésis.

Et pourquoi pas ?

L’ambiance générale est bonne, Stallone fait du Stallone et j’aime ça. La réalisation est ce qu’elle est surtout pour un long métrage de ce genre. Il y a peu de temps mort sans pour autant nous bombarder d’information. La gestion des personnage n’est pas mauvaise même si un peu plus de profondeur aurait bien venue. En revanche j’ai trouvé que la relation entre Sam et Joe était bien gérée. De la castagne oui, des armes à feu aussi. Distribution de pêches et de pruneaux à volonté et ça c’est cool aussi.

Bien mais pas top.

Comme souvent l’ensemble est bon sans être parfait. J’aurai aimé un film encore plus sombre. Granite City, la ville fictive dans laquelle se déroule l’intrigue à des faux airs de Gotham City et c’est pour cela que j’aurai aimé que cette nouvelle production soit plus « dark ». J’aurai aimé aussi un film un peu plus long. Bien que le rythme soit bon j’aurai aimé quelque chose de plus.

Tu regardes ou tu ne regardes pas ?

En conclusion je dirai que Samaritan est un bon divertissement. Prime Vidéo propose ici un long métrage réussi qui, certes sera vite oublié avec les prochaines sorties à venir, mais il mérite d’être vu. Alors su vous aimez la castagne, les salades de pruneaux et bien évidemment les supers héros, foncez !

Voilà c’est tout pour aujourd’hui jouez bien, amusez-vous mais surtout partagez le !

Tic et Tac le film

Tic et Tac Les Rangers du Risque le film disponible depuis le 20 mai sur Disney+

Bonjour à toutes, bonjour à tous. Voilà un moment que dis-je ! Une éternité que je n’avais rien écrit. Comme vous le savez l’heureux évènement est pour bientôt et je reconnais volontiers que cela nous prend pas mal de temps. Nous sommes heureux et bien occupés.

Néanmoins je suis très heureux de faire mon retour à l’écrit avec ce nouvel article dans lequel je vais vous parler d’un film pour jeune public (la fibre paternelle est déjà là !) avec Tic et Tac Les Rangers du Risque le film disponible depuis le 20 mai sur la plateforme de streaming préférée des enfants : Disney+.

Comme souvent remontons dans la machine à voyager dans le temps !

Tic et Tac ou Chip and Dale en version originale font leur apparition chez Disney en 1943 dans un court métrage. Mais il faudra attendre la fin des année 80 pour qu’une série animée leur soit entièrement consacrée. Et c’est surtout de cette série que beaucoup d’entre vous se souviennent.

Mais arrêtons là les souvenirs et revenons en 2022 car c’est bien de leurs dernières aventures dont je vais vous parler.

Envie de voir la bande annonce avant d’aller plus loin ? Clique ici.

Je suis très enthousiaste quand au fait de découvrir les nouvelles aventures des héros de mon enfance. Cela me ramène plusieurs années en arrière. Je me remémore les moments passés en famille à regarder Tic et Tac Rangers du Risque. Et le plaisir de retrouver ces héros chers à mon cœur me rend un peu fébrile au moment ou le film se lance.

Plaisir intact.

Cela commence ils n’ont pas pris une ride, toujours aussi pétillants et… en 3D ? OK ! J’avoue que cela surprend mais pourquoi pas ! L’ambiance est là, le duo fonctionne toujours aussi bien, l’ADN est inchangée je suis soulagé. Les minutes passent et l’espace d’un instant, je suis en 1990, dans mon salon en pyjama. Mais nous sommes bien en 2022. Tac a un iPhone il tweet, post sur Instagram et part en convention.

Mais, Mais…

Alerte Plaisir immense ! Alors certes ils sont animés, certes ils restent des personnages de fiction mais le nombre de caméo est juste Génial ! Ils sont tellement nombreux que je pourrais pas tous vous les citer et puis je ne souhaite pas gâcher la surprise de celles et ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion de découvrir ce nouveau film.

La perfection n’est pas de ce monde.

Comme souvent même si l’ensemble est bon il est loin d’être parfait. J’ai trouvé le film un peu long et son histoire n’est pas des plus passionnantes. Je reconnais volontiers que j’aurai aimé un scénario un peu plus complexe. Je suis d’accord était ce vraiment le rôle de ce long métrage ? non ! Mais quand même cela n’aurait gêné en rien.

Bon alors Sasha ?

Malgré tout j’ai passé un bon moment. Ce long métrage est ce qu’il est mais reste un excellent divertissement. Il est l’occasion de retrouver des héros d’enfance pour certains ou de découvrir de nouveaux personnages pour les plus jeunes d’entre nous.

A quelques semaines d’endosser un nouveau rôle qu’est celui de papa, je prends conscience avec ce film que ma responsabilité de transmission aura une part prépondérante dans la vie de bébé.

Encore une fois ces lignes ne sont que mon ressenti; le meilleur avis reste et restera celui que vous vous ferez en regardant Tic et Tac Les Rangers du Risque le film.

Voilà c’est tout pour aujourd’hui, jouez bien amusez vous mais surtout partagez le !

Uncharted le film

L’affiche du film.

Nouvel article consacré cette fois-ci à l’une des sorties cinéma les plus attendues par les amateurs de jeu vidéo puisque ce 16 février 2022 Uncharted, l’adaptation de la célèbre série de jeux vidéo développé par Naughty Dog, arrive sur les écrans.

Je pénètre dans la salle Ice et dès les premiers pas je suis plongé dans l’ambiance du film que je m’apprête à voir. A l’heure où je pose ces lignes il s’est écoulé moins de dix minutes avec ma sortie du cinéma.

Couloir de la salle Ice du cinéma CGR de La Rochelle.

Comme à mon habitude cet article ne contiendra aucun spoil permettant ainsi à celles et ceux qui n’ont pas encore eu le temps et le plaisir de voir le film de pouvoir lire ces lignes sans crainte.

Je reconnais volontiers avoir été assez perplexe au moment où la salle est plongée dans le noir ayant tellement vu de mauvaises adaptations de jeux vidéo mais je refuse de me faire une fausse idée avant d’avoir vu quoique ce soit.

Réalisé par Ruben Fleischer a qui nous devons Bienvenue à Zombieland (2009) Venom (2018) ou encore Retour à Zombieland (2019). Côté casting de ce long métrage nous retrouvons Tom, Peter Parker, Holland dans le rôle de Nathan Drake, Mark Wahlberg incarne Victor Sullivan. Je m’arrête un instant car il m’a fallu un temps d’adaptation pour arriver à assimiler la carrure de l’acteur avec le rôle qu’il incarne. Comme beaucoup, je parle de celles et ceux qui connaissent l’univers, Mark Wahlberg était vraiment la seule réticence que j’avais au niveau du casting. Sophia Taylor Ali incarne Chloé Frazer et Antonio Banderas campe le méchant du film. J’ajoute que j’ai beaucoup apprécié de voir si ce n’est que quelques secondes, Nolan North, voix originale de Nath Drake dans le jeu.

Je vais tenter d’être le plus objectif possible car en fan absolu de la saga j’ai réellement beaucoup aimé ce premier opus qui commence par une scène mythique d’un des épisode de la saga (je vous laisse le plaisir de la découvrir) avant de se lancer dans un flash-back histoire de poser les bases de l’aventure que je suis en train de découvrir.

Je suis aussi rassuré de voir que ce film ne s’adresse pas qu’aux fans et connaisseur de l’univers. Les néophytes du genre pourront l’apprécier comme un très bon divertissement.

En toute honnêteté je n’ai pas trouvé de réel défaut mais si je dois être pointilleux je dirai que la seule critique pourrait venir de sa durée. L’équipe du film a dû bien évidemment avoir recours à de nombreuses ellipses pour obtenir un résultat entre guillemets raisonnable. Et c’est là, à mon goût, le seul défaut notoire qui encore une fois ne gêne en rien l’appréciation générale.

Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde et toutes les références aux différents opus m’ont comblé et sincèrement quel plaisir de voir enfin une bonne même une très bonne adaptation d’un jeu vidéo.

Voilà c’est déjà terminé. Les deux heures se sont écoulées trop vite mais c’est souvent ainsi quand on passe un bon moment.

La scène post générique dont je ne vous dirai rien hormis le fait qu’elle permet au spectateur d’entrer encore plus dans l’univers de cette saga et je dois bien avouer être impatient de découvrir une suite plus que probable.

Le reste vous appartient de découvrir ou non cet Uncharted, une chose est sûre je retournerai le voir dès ce week-end.

Voilà c’est tout pour aujourd’hui mais rappelez-vous que le plus important reste à découvrir, s’amuser et le partager !

Spiderman no way home

Spiderman no way home en salle depuis le 15 décembre.

Nouvel article dans lequel je vous parle de cinéma avec le retour des aventures de l’homme araignée qui sont à coup sur le film le plus attendu de cette fin d’année.

Spiderman no way home est donc à l’affiche depuis ce mercredi 15 décembre et j’avais vraiment hâte de pouvoir le découvrir. C’est chose faite !

bien entendu et comme à mon habitude cet article ne contiendra aucun spoils permettant ainsi à toutes celles et ceux qui n’ont pas encore la possibilité de le découvrir de pouvoir lire ces lignes sans crainte.

Retour sur ces 148 minutes en compagnie de Peter Parker et de sa bande.

Un mélange d’impatience et d’excitation se mêlent en moi alors que je prends place dans mon fauteuil rouge. Nous y sommes ! Après avoir vu et revu les différents trailers et avoir abandonné les réseaux sociaux ces dernières vingt-quatre heures afin de ne pas me gâcher la surprise me voilà prêt à en prendre plein les yeux et les oreilles. D’autant plus que les différents retours de celles et ceux qui l’ont déjà vu sont majoritairement unanimes c’est Génial !

Plus que quelques instants et le film que j’attendais le plus en cette fin d’année va enfin pouvoir débuter.

Les lumières s’éteignent, l’écran s’illumine et le bandeau Marvel apparait enfin.

Le film démarre alors que l’identité de Spiderman (Tom Holland) a été révélée. Peter, MJ (Zendaya) et Ned (Jacob Batalon) vivent alors des moments difficiles.

Devant toutes les péripéties que traversent nos héros Peter décide de faire appel à Dr Strange (Benedict Cumberbatch) afin que le monde entier oublie l’identité de Spiderman. Mais voilà entre ses devoirs de héros et ses rêves d’adolescent Peter perturbe le lancement du sort créant ainsi une faille qui ouvre la porte au multivers.

Peter Parker et Doctor Strange.

Je vais tenter d’être objectif (c’est le fan qui parle) malgré le spectacle proposé tout n’est pas parfait. Non le retour de Peter Parker est scénaristiquement plat et déjà vu. Il s’agit bel et bien d’un film fan service avec des références à nos souvenirs et l’on peut dire ce que l’on veut cela fonctionne. Malgré tout j’aurai aimé un peu plus de profondeur et de réflexion pour ce dernier opus et pas seulement une superposition de scènes d’action.

J’avoue être passé du rire aux larmes tout au long de ces 2 heures 28. Je n’aborderai ici que le nombre de scène post-génériques elles sont au nombre de 2 et je confesse que je ne l’ai pas trouvé ultra folles.

Bien que ce Spiderman no way home ne soit pas le long métrage parfait il est, à bien des égards une véritable pépite. Pour tout son concentré d’action, de décors, d’ambiance musicale, de méchants de… Je ne peux et ne veux vous en dire plus; mais si comme moi vous avez aimé les précédentes aventures de Spiderman foncez sans plus attendre découvrir ou redécouvrir (ce qui sera mon cas très prochainement) Spiderman no way home en attendant sa sortie en blu-ray.

Venom : Let There Be Carnage

Venom Let There Be Carnage.

Nouvel article dans lequel nous allons parler cinéma avec la sortie en salle le 20 octobre prochain du second opus de Venom, intitulé Venom let there be carnage et réalisé par Andy Serkis.

Comme vous le savez, ayant vu le film en avant-première et ne souhaitant rien dévoiler afin de permettre à toutes et tous de pouvoir me lire sans crainte ce nouvel article ne contiendra aucun spoil.

De quoi ça parle ?

Trois ans après la sortie du premier volet moyen, Venom et son hote sont de retour pour faire face à un nouveau vilain, Carnage symbiote de son état, qui a choisi le tueur en série Cletus Kasady comme hote. Cette nouvelle production est une nouvelle fois signée Sony Picture.

Tu ne nous présentes pas tes ami(e)s ?

Côté casting nous retrouvons notamment Tom Hardy en Venom ainsi que Michelle Williams dans le rôle de Anne Weying. Du côté des « bad guys » Woody Harrelson y campe le rôle de Cletus Kasady mais aussi et surtout de Carnage et Naomie Harris ( Miss Moneypenny dans le dernier James Bond) y tient le rôle de Frances Louise Barrison.

Cela s’est joué à un cheveux !

Je voudrais m’arrêter deux secondes sur la perruque de Woody Harrelson. Pourquoi ? Comment ? Oui ! Pourquoi l’avoir affublé de la sorte ? J’ai trouvé que cela desservait le personnage. J’ai eu du mal à prendre ce méchant au sérieux.

Putôt bien emballé.

Pour le reste le film se regarde facilement, le scénario se met en place rapidement car ce nouvel opus ne dure qu’une heure trente-sept. Personnellement j’aurai aimé un film un peu plus long et trente minutes supplémentaires ne m’aurait pas dérangé le moins du monde.

J’ai aimé voir un Venom un peu différent du premier film avec des traits de caractère plus touchant car il ose parler de ses sentiments et de ses ressentis.

Je précise aussi que nous avons vu le film en VF et bien que j’aurai vraiment préféré le voir en VO la version française n’est pas mal du tout.

Et que dire de la scène post-generique !! Il y aurait tellement de choses à dire mais ne souhaitant pas gâcher le plaisir que chacune et chacun d’entre vous prendrez à la découvrir je n’en dirai pas un mot, si un : profitez !

Du coup Sasha ?

En conclusion je dirai que ce Venom Let There Be Carnage n’est pas si mauvais que j’ai pu l’entendre ou le lire sur les internet ou ailleurs. Certes ce film n’est pas le meilleur et beaucoup de choses auraient pu pour ne pas dire auraient dû être meilleurs mais n’oublions pas qu’il s’agit avant tout d’un divertissement et que le but premier est donc de se divertir. Alors n’y aller que si vous avez envie de passer un bon moment en vous disant qu’après ces mois difficiles il est quand même très agréable de pouvoir retourner au cinéma.

Voilà c’est est tout pour aujourd’hui mais rappelez-vous que le plus important reste à découvrir, s’amuser et le partager !

Dune : première partie

Dune en salle depuis le 15 septembre.

Nouvel article après un été qui a filé a toute vitesse et ça tombe bien puisque dans ce nouvel article nous allons prendre de la hauteur puisque je vais parler de cinéma et plus particulièrement du film Dune : première partie sorti ce mercredi 15 septembre et que j’ai eu l’occasion de découvrir.

Avant toute chose sachez que pour celles et ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion de voir le film, cet article ne contiendra aucun spoil. Vous pouvez donc lire ces lignes sereinement.

Retour en 1984.

Car oui à l’origine de ce film sorti tout récemment il y a, comme souvent, une version originale. Cette dernière date de 1984. Elle a été réalisé par jk réalisateur que l’on ne présente plus, Monsieur David Lynch mais qui à l’époque réalisait avec ce qui allait devenir un film culte, son troisième long-métrage après Eraserhead (1977) et The Elephant Man ( 1980)

La guerre au cœur du désert.

Pour les non initié(e)s de quoi ça parle ? D’une bataille interstellaire pour le contrôle de la planète Arrakis plus communément appelée : « Dune ». Un peu simplet comme scénario pourront naïvement croire certains mais derrière ces quelques mots se cache une réelle histoire et une lutte de pouvoir sans merci. Dans cette nouvelle version j’ai trouvé les émotions justes, les choix de certains personnages sont parfois difficiles à comprendre voire à accepter mais on ne fait pas guerre avec des fleurs et des ballons. Leur monde est cruel est c’est un fait.

Mais Mais…

Première chose à savoir ce film n’est qu’une première partie. Denis Villeneuve (le réalisateur) lui-même confiait qu’un seul film était trop peu pour dire toutes les choses qu’il avait à dire. Ce qui explique pourquoi la relecture de ce film culte sera en plusieurs parties. Du coup j’ai hâte d’en découvrir la suite !

Poussez-vous y a du monde !

Côté casting du beau monde vient incarner cette épopée. Thimotée Chalamet, Zendaya, Jason Momoa, Javier Bardem ou encore Josh Brolin pour ne citer qu’eux. Tour à tour il incarne sans fausse note les différents personnages de cette fresque.

Dune et son casting XXL.

L’univers musical est lui aussi très soigné. Il est réalisé par le cultissime Hans Zimmer et dans cette œuvre l’OST est un personnage à part entière qui vient ponctuer avec émotion l’aventure de nos héros.

Personnellement j’ai beaucoup aimé la vison de Denis Villeneuve. Cependant je confesse une légère déception ( vite estompée) lorsque j’ai vu apparaître « Première partie ». Pour le reste je n’ai pas vu le temps passé et j’ai englouti ces 2h36 avec une faim de loup.

Ainsi se termine ce nouvel article, je vous laisse, j’ai comme une envie de revoir un film de 1984…

Nos mots comme des bulles

Nos mots comme des bulles disponible sur Netflix.

Nouvelle semaine, nouvel article dans lequel je vous parle d’un film d’animation disponible sur Netflix : Nos mots comme des bulles.

Une jolie bulle japonaise.

L’histoire : Cherry un ado de 17 ans très introverti qui a beaucoup de mal à interagir avec les autres et qui communique la plupart de son temps en Haïkus (poèmes courts) fait la rencontre de Smile qui elle dissimule un complexe physique derrière un masque.

Cette histoire d’une heure et vingt-sept minutes est graphiquement très au point, on se balade dans un Japon très coloré et très très détaillé. Les personnages sont attachants l’ambiance musicale est particulièrement réussie mais il y a un MAIS. Car bien que ce film d’animation soit réussi l’ensemble manque de rythme et même si on ne s’ennuie pas il manque vraiment un réel quelque chose pour accompagner le spectateur et le tenir en haleine.

Si cette histoire tente de se donner un second souffle en se découpant en deux parties le film n’est malheureusement pas à la hauteur. Certes l’histoire d’amour et plutôt mignonne et bien ficelée c’est la partie « intrigue » du film qui a du mal à d’imbriquer. C’est dommage car le film délivre de jolis messages mais j’y reviendrai.

Sasha tu en demandes beaucoup !

J’avoue volontiers qu’avec le temps je deviens quelque peu exigeant. Je reconnais que je devrais de temps à autre essayer de regarder un film ou une série sans y chercher quelque défaut que ce soit car derrière cette aventure colorée Nos mots comme des bulles relate avec humour et simplicité la difficulté que peuvent rencontrer les adolescents sur l’acceptation de soi et des premiers sentiments; le film aborde aussi la peur de vieillir, d’oublier et de mourir. Pour finir je dirai que cette aventure est à regarder telle qu’elle est c’est à dire un bon et joli divertissement.

Cherry & Smile

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