Nouvel article dans lequel je vais vous parler de cinéma et plus précisément du Festival du Cinéma de La Rochelle. La dernière édition s’est déroulée du 26 juin au 4 juillet. Avant toute chose je tiens à remercier Hedonia Radio qui m’a permis d’assister à la projection de différentes avant-première de plusieurs long-métrages.
Sans signe particulier est un des deux films qui m’aura marqué lors de cette semaine.
Amoureux de l’amérique latine. J’étais impatient de découvrir ce long métrage qui pour moi, n’a aucun point négatif.
En quête de réponses et de vérité
Le long métrage raconte l’histoire d’une mère en quête de réponse. sur la disparition d’un fils monté il y a plusieurs mois dans le bus 670 en direction de l’El dorado américain mais qui n’arrivera jamais.
Vous souhaitez voir la bande annonce avant d’aller plus loin ? Cliquez ici !
Cette mère courage qui fera la rencontre, au cours de son voyage, d’un jeune homme. Ce dernier rentre au pays après avoir été expulsé des états Unis voisins. Tous deux s’apporteront mutuellement force et réconfort.
Du premier coup !
C’est Fernanda Valadez qui réalise, avec ce tout premier long métrage, une performance troublante, touchante et percutante.
Pourquoi ? Car il dépeint avec froideur et justesse le combat de nombreuses mères qui refusent de se résoudre aux réponses funestes des autorités mexicaines.
Poignant et boulversant
Alors oui ce film est triste bouleversant et parfois révoltant mais il est honnête et juste. Fernanda Valadez nous fait prendre conscience que bien que le Mexique et les États Unis soient voisins il n’en est pas moins difficile pour ne pas dire impossible pour beaucoup de mexicains d’accéder à un rêve qu’ils peuvent toucher des doigts si souvent.
Encore une fois les lignes ci-dessus ne résultent que de mon ressenti. Le meilleur moyen de vous forger votre propre opinion ? Aller voir Sans signe particulier.
Voilà c’est tout pour aujourd’hui. N’oubliez pas que le plus important reste à découvrir, s’mauser et le partager !